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Channel: Madame Figaro - Série mode
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Rose, jaune, bleu... On mise tout sur le pastel

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Le féminin-masculin
Blaser en coton, Michael Kors Collection, robe en laine, Loewe, culotte en dentelle, Eres. Boucles d’oreilles, Géraldine luttenbacher chez Naïla de Monbrison, baskets Céline.

Un vent de fraîcheur nimbe les beaux jours. Plus piquantes que mièvres, les nuances acidulées composent un vestiaire à la modernité gracieuse et au chic désinvolte. Promesses d’un été joyeux.

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Plumes, transparence, organza.. Une mode aérienne

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Charmes farouches

Blouse en georgette de soie, culotte en maille et Lurex, et bottes en velours et plumes, Saint Laurent par Anthony Vaccarello.

Évanescences, plumes et transparences. Ces silhouettes, qui jouent avec la délicatesse des matières, esquissent une irrésistible féminité, jamais conventionnelle. Troublante séduction.

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Robes fluides en maille et rayures : place au "stries" art !

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Multicolore
Débardeur en maille viscose, Missoni, robe asymétrique en jersey, Peter Pilotto. Boucle d’oreille Missoni, sandales à plateaux, Robert Clergerie.

Optiques, verticales, horizontales, multicolores… Les rayures font un sacré effet. Déclinées sur des robes extra-fluides en maille, elles structurent l’allure. Lignes à suivre cette saison.

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Carreaux et fleurs, soie et cuir, wax et tartan... Le grand mix de l'été

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Abstraits ou figuratifs

Alexandra : chemise et jupe en soie, Carven. Sandales Rochas. Elena : chemisier en soie, Longchamp, jupe en soie, Undercover. Chapeau Tohu-Bohu, escarpins Burberry.

Dans une harmonie aussi irréprochable qu’improbable, imprimés fleuris, graphiques, arty... s’entrechoquent. Pour faire bonne impression, tout est possible.

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Arty & sporty, cool & chic, fantasque & classique... Le grand mix de l'été

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Sauvage & futuriste

Manteau en cuir imprimé zèbre, Roberto Cavalli, sweater en viscose, G-Star RAW. Sac Back Pack B-Link, en cuir clouté, Balmain, sac Kleny, en coton et cuir, Isabel Marant, baskets Louis Vuitton.

De l’énergie, de l’audace, de l’exubérance… Les accessoires de la saison exacerbent ces silhouettes piquantes et urbaines, qui font le pari de l’oxymore stylistique.

Série mode : les sigles emblématiques, indices du chic

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Brillance

Trench en cuir verni, sac Mini Lady Dior, en veau cannage rouge. bandoulière, sac Dior Oblique, sac Book Tote et petit sac Dior Oblique, le tout en toile Signature. escarpins en cuir, le tout Dior.

Le logo des marques reviennent sur le devant de la scène et les griffes affichent de nouveau leurs sigles emblématiques. Une stratégie entre effet graphique et clin d’œil mode. On assume et on s’adonne à cette signalétique du chic.

Safari moderne : le vestiaire parfait pour un été tout-terrain

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Sophistication maîtrisée
Parka en soie mélangée, Georges Rech, body en coton, intimissimi. Collier Pascale Monvoisin, foulard El Paso Booty.

Donner libre cours à sa fantaisie voyageuse, explorer un chic nomade où la simplicité a sa place, égrener les nuances de sable et de terre, mêler les tissages bruts et les volumes souples… et composer un parfait vestiaire d’été tout-terrain.

Signes de grâce, un vestiaire de ballerine moderne

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Harmonie

Robe en résille de coton, Zadig & Voltaire, lingerie Eres. Sac de voyage extensible en cuir, ligne Ruban, Longchamp, mini-sac ready-made nano,en coton, à bandoulière, Zadig & Voltaire, escarpins en veau souple, Fratelli Rossetti, accessoires de danse, Repetto.

Sacs grand format raffinés ou mini-besaces, ballerines minimalistes ou sandales glamour… Une variation de beaux intemporels scandent cet irrésistible vestiaire de ballerine moderne.

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Mode homme : sur le terrain de foot, alliez survêt et élégance

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Chic  &  match

De gauche à droite.
Florian : gilet et pantalon en prince- de-galles, Givenchy, chemise en coton, Maison Standards. Cravate Paul Smith, chaussures Church’s.
Didier : costume en drap de laine et chemise, Emporio Armani. Chaussures John Lobb.
Jules : costume à carreaux en coton, chemise et cravate, l’ensemble Paul & Joe. Chaussures Church’s. Ballon Nike.

Costume et survêt, rigueur tailoring et esprit sportif : les registres fusionnent. Pour ces champions de l’exercice de style, l’art du décalage mène le jeu. Illustration sur le terrain en prélude à la prochaine Coupe du monde de football.

Les montres masculines plus que jamais objets de désir

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Montre colorée

Montre Oyster Perpetual GMt-Master II, en or gris, mouvement Perpetual, mécanique à remontage automatique, Rolex.

Face à la déferlante des sportives et des chronos bien carrossés, une vague de modèles à l’élégance classique et de cadrans épurés… Colorée, sobre, minimaliste ou rectangulaire, la montre d'homme intemporelle est plus que jamais dans la tendance.

Vestiaire pour une moderne baby doll

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Barock’n’rock

Mayka : Blouse en soie, pourpoint en brocart et cuir verni, et short en soie, l’ensemble Louis Vuitton.

Dans ce vestiaire teinté de douceur mais nourri d’une énergie frondeuse, le cuir mat ou miroitant façon vinyle flirte avec les dentelles volantées et les délicatesses de tulle. Pour moderne baby doll.

Telle mère, tel style

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Bain commun

Tapis de bain, La Redoute.

Une allure joyeusement cool, un chic limpide jusque dans les coupes, un esprit sportswear et des envies bohèmes… Le top star Georgina Grenville et ses trois enfants interprètent pour nous ce vestiaire tendrement désinvolte.

L’allure sur toute la ligne

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Sobriété

Combinaison en lin, Caroll, tee-shirt Majestic Filatures, lunettes Tom Ford Eyewear, bagues Repossi, baskets Geox. Fauteuil vintage Tulipe, design Eero Saarinen, Knoll.

Coiffure André Cueto Saavedra. Maquillage Lisa Legrand.

Le chic désinvolte de la garde-robe et des souliers répond aux volumes épurés de chaises cultes, fauteuils vintage et banquettes design. Entre sièges délectables et pièces désirables, un exercice de style qui célèbre la beauté des formes.

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Signes de grâce, un vestiaire de ballerine moderne

Emma Stone, Xavier Dolan, Léa Seydoux... Leurs liens passionnés avec Nicolas Ghesquière

Charlotte Le Bon, l'héroïne fatale de la mode

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Charlotte Le Bon

Combinaison en crêpe de soie et ceinture, Gucci. Boucle d’oreille, Akillis. Sur la tablette, manchette Elie Top, chaîne ras du cou, David Yurman.

Une atmosphère troublante de film noir, une beauté fatale, un vestiaire dangereusement tentant… L’actrice Charlotte Le Bon joue les héroïnes de cette séquence mode sous haute tension. Juste avant de présenter le 15 mai son premier court-métrage au Festival de Cannes, Judith Hôtel, à l'occasion des 25 ans des Talents Adami. Moteur !

Mai 1968 VS 2018, sur les pavés le style

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Défense de ne pas s’afficher !

De gauche à droite. Marc : blouson en daim, AMI, pantalon en velours côtelé, Balenciaga. Béret LaulhÈre. Gabrielle : veste en laine mélangée, Ba & Sh, robe longue en jersey de coton, Marni. Sac Dior. louise : gilet en mouton retourné, Coach 1941, chemise en coton, jupe en gabardine de coton et ceinture, l’ensemble carven, Bonnet Kerstin Adolphson, sac Gucci, mocassins Miu Miu.

Clin d’œil aux événements de 1968, cette parfaite garde-robe de printemps revisite les références seventies et leur liberté frondeuse. Entre patchwork de genres, esprit rebelle et tentations hippies, une mode engagée qui place l’imagination au pouvoir.


Vestiaire plein soleil avec l'Ange de Victoria’s Secret, Josephine Skriver

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Orange tonique  + make-up vitaminé  = le sporty cool

Blouson en nylon, maillot de bain en Lycra et ceinture, Gucci.

Étoffes à fleur de peau et make-up nude, top glitter et fards irisés, cuir tressé et cheveux nattés… Au jeu des correspondances, mode et beauté se font parfaitement écho. Démonstration avec le supermodel Josephine Skriver qui sublime ces looks en harmonie avec nos envies.

Des yeux en amande, une chevelure châtain mordoré, des jambes d’échassier et une poitrine de James Bond girl… Que Josephine Skriver ait été propulsée en 2016 comme l’un des plus beaux anges de Victoria’s Secret n’étonnera personne. Plus singulière est son histoire personnelle : elle est née en 1993 à Copenhague de deux parents homosexuels, grâce à une fécondation in vitro. Josephine, aujourd’hui 26 ans, 1,80 m, un charisme peu commun et un enthousiasme pour la vie communicatif, est l’un des top models stars de l’agence Elite Paris. «En entrant chez Victoria’s Secret, j’ai gagné quatorze sœurs à la vie à la mort et des émotions inoubliables, comme celle de défiler avec des ailes incrustées de 450.000 cristaux Swarovski devant près de dix millions de téléspectateurs», raconte- t-elle.

Génération "arc-en-ciel"

La norme n’est pas son genre. Et son succès sur les podiums les plus prestigieux l’a aussi amenée à devenir l’une des porte-parole les plus efficaces de la communauté LGBTQ (1). Elle le revendique avec fierté. «Si je suis sur terre, c’est grâce aux avancées spectaculaires de nos sociétés, de la science et des mentalités, explique-t-elle, et c’est grâce aussi à l’incroyable audace de ma mère, qui a un jour publié dans un magazine homosexuel l’annonce suivante : "Je suis célibataire. Y a-t-il un gay qui aimerait devenir le père de mon enfant ?" Cinq hommes ont répondu. Elle a choisi le premier qui s’est décidé.» Dans la famille Skriver, hésiter n’est pas une option. Les détails de sa conception ne sont un secret pour personne. Josephine s’en explique, avec délicatesse, à longueur d’interviews ainsi que sur son compte Instagram, suivi par près de cinq millions de personnes. «Nous représentons la génération "arc-en-ciel", celle d’enfants pionniers, d’origines diverses, nés de FIV, de mères porteuses, au sein de couples homos ou adoptants. Ce qui nous unit ? L’assurance d’être aimés. Pour nous avoir, nos parents ont dû se battre. Ce qui nous rassemble aussi, c’est d’être encore victimes de malveillance. Combien de fois m’a-t-on demandé à l’école si j’étais normale, si cela ne me dérangeait pas d’avoir été ainsi conçue, si j’avais un père… D’autant plus que ce dernier s’est marié avec son ami. Je veux utiliser ma voix et ma notoriété pour qu’un jour les gens ne se jugent plus en fonction de leurs origines, de leur couleur de peau ni de leur religion.»

Deux heures de sport par jour

Sequins + peau dorée = la touche glitter

Triangle à sequins, Alberta Ferretti, culotte de maillot en jersey, DnuD. Lunettes MCM.

La jeune fille le dit haut et fort : elle n’est pas un avatar de la science ou une identité virtuelle. «Regardez-moi, je suis une personne en chair et en os, comme tout le monde.» Enfin, pas tout à fait. Un corps comme le sien se sculpte à raison de deux heures de gymnastique par jour, de séances de jogging et d’un minimum d’attentions. «Je dis toujours aux jeunes mannequins qu’il faut beaucoup dormir, prendre des vitamines, avoir toujours un en-cas dans son sac, pour les séances de casting qui n’en finissent pas, et faire du sport, beaucoup même, pour garder son équilibre physique et surtout mental.» Quelle maturité ! Quel métier ! Pourtant, elle n’y est entrée qu’à reculons. Son premier shooting ? À l’âge de 5 ans, pour une marque de couches-culottes. Les années passent. Ses jambes s’allongent. À 15 ans, en visite à New York, elle est repérée par un scout (chasseur de têtes pour les agences de mannequins NDLR) qui lui propose de faire des photos. Elle le congédie gentiment. Revenue chez elle, elle en parle à son entourage qui l’encourage quand même à considérer la prochaine occasion avec plus d’aménité. Quelques semaines plus tard, un autre photographe l’aborde. Elle signe alors avec l’agence danoise de mannequins Unique Models. On lui propose de défiler à New York pour la Fashion Week. Puis la voilà demandée à Paris et Milan, où elle arpente les podiums de Dolce & Gabbana, Prada, Givenchy, Balenciaga, Dior… Elle se retrouve aussi devant l’objectif de Steven Meisel. Et parle alors d’un éblouissement. «Il ne prenait que quelques clichés avant d’avoir "sa" photo. Il m’a appris à poser. Il m’a fait comprendre ce qu’était une séance de shooting. Il m’a fait grandir.»

(1) Lesbian, gay, bisexual, transgender, queer, association créée en 1996.

En images, la cover story de Josephine Skriver

En vidéo, Lady Gaga déclare son soutien à la communauté LGBT après la tuerie d'Orlando

Un vestiaire bohème pour l'été

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Sensuelle

Haut de maillot en velours, Etam. Pantalon en laine mélangée, Aalto. Sautoir Ginette NY, jonc Guérin Joaillerie.

Des shorts en peau, d’amples pantalons fluides, de longues robes de jour, des touches de dentelle et des soies voluptueuses… Ce vestiaire de plein soleil célèbre une féminité assumée et radieuse au parfum seventies. Irrésistible.

Les yeux charbonneux de Brigitte Bardot. Le top Veruschka en saharienne dans le désert. Lauren Hutton étincelante en minirobe dorée. Jane Birkin et ses tops en crochet, Françoise Hardy en pattes d’eph. Les turbans de Bianca Jagger et les blouses bouffantes d’Ali McGraw. Voilà le style des années 1970 dans l’imaginaire collectif. Un vestiaire et une attitude toujours d’actualité en 2018, surtout si on s’apprête à partir jouer les bohèmes dans la chaleur des vacances.

Pour un été brûlant

Il n’y a pas plus séduisant que ce dressing où se côtoient micro-shorts en peau, tops à imprimé léopard, robes en voile vaporeux et crochet impudique. Une féminité exacerbée s’en dégage. On l’assume à coups de chevelure au naturel. On l’apaise en limitant son maquillage aux yeux. Et on en profite : un été pour se mettre dans la peau des icônes des seventies, c’est court, mais ça ne peut être qu'intense.

La série mode du Madame Figaro :

En vidéo, la campagne Gucci Men's Tailoring avec Harry Styles :

Quand le deux-pièces surfe sur la tendance des imprimés

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Reptile

Maillot en polyamide, Andrés Sardá. Lunettes, Jimmy Choo chez Sàfilo. Bracelets, Tasaki et Margote.Ceramiste.

Minimaliste, échancré, drapé, ficelle, triangle… quelle que soit sa forme, le deux-pièces s’expose cette saison en version imprimée. Tous les motifs sont bons pour nous faire plonger au cœur de l’été.

Pour garder sa place dans le cœur des femmes et tenir bon face à la montée en force de son concurrent direct le une-pièce, le bikini se réinvente à chaque saison estivale. Et cette année, peu importe la forme de ce maillot de bain vieux de plus de 70 ans, on dit oui à la couleur, mais surtout aux imprimés.

Si on passait à l’heure d’été ?

Floral, graphique, animal… Cet été, les motifs sont à l’honneur jusque sur les plages. Des plus attendus comme les rayures et les fleurs aux plus originaux à l’image des imprimés reptiliens ou panthère, ils nous font voyager dans les Tropiques ou nous font rêver d’aventure. Zoom sur les bikinis qui nous rappellent l’harmonie des beaux jours et nous donnent des envies d'ailleurs.

> À lire aussi : Soixante maillots de bain une pièce à s'offrir pour l'été

La série mode du Madame Figaro :

En vidéo, un siècle de maillots de bain avec l'ex-playmate Amanda Cerny

La haute joaillerie joue les prolongations

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Luxuriants

Collier en or blanc, émeraudes d’Afghanistan, spinelles, grenats mandarins, turquoises, onyx et diamants, bague en or blanc, émeraude de Zambie, spinelles, opales, onyx, turquoises et diamants, le tout collection haute joaillerie Coloratura, Cartier. Bracelet articulé, deux ors gravés, pavé d’émeraudes, de rubis, de saphirs et de diamants, collection haute couture, Buccellati. Body et parka Pinko.

Magie des pierres de couleur, magnificence maîtrisée, prouesse de délicatesse… pleins feux en avant-première sur ces pièces de haute joaillerie exceptionnelles, qui seront dévoilées lors de la Semaine de la couture, du 1er au 5 juillet, à Paris.

Série mode : l’allure n’a pas d’âge

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L’esprit amazone

De gauche à droite.
Sophie : Corset en cuir clouté, robe en maille, à manches volantées, le tout Alexander McQueen.
Axelle : Harnais en cuir clouté, robe en maille plissée, et sandales compensées, le tout Alexander McQueen.
Alexis : Corset en cuir clouté, robe courte en maille et crêpe, boucles d’oreilles et cuissardes, le tout Alexander McQueen.

Élégance affirmée, nonchalance maîtrisée, audaces assumées : les créateurs célèbrent la féminité. Celle qui transcende le temps. Démonstration, face à l’objectif de la célèbre artiste photographe Françoise Huguier, avec trois femmes inspirantes.

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